Printemps 2025

Jardin des Tuileries et Hanami au Parc de Sceaux.
Notes : Sony alpha 7 i, objectif 28-70, réglages tout manuel…dur dur! c’est encore flou parfois sauf pour les petites ouvertures et sujets proches, ce qui est bien frustrant…question de réussir à faire correctement la mise au point avec un sujet éloigné, avec une lumière changeante, et des sujets mobiles. L’auto-focus : j’aurai dû le régler en continu pour prendre les humains en photo…et j’aurai aussi dû me donner une contrainte plus simple et ne pas avoir à manipuler toutes les composantes (iso, vitesse, ouverture…). Mais bon je suis contente quand même du résultat! ah oui et aussi, au bout d’une heure, ma carte était pleine, et ma batterie a rendu l’âme! erreur de débutant comme on dit 😉

Février 2025

Balades au hasard et réflexion sur le thème du temps qui passe ou « les traces du temps ».
(Sony alpha7 i + obj. 28-70).

Cette statue s’ennuie à l’entrée d’un caveau du Père Lachaise…Ca commence à faire long !

Celle-ci essaye de se remémorer le bon vieux temps: où est-il passé ?

Texture et couleurs de rouille sur cette porte de sépulture

Quand les intempéries et les mousses redonnent presque vie à une fleur en plastique

Fleurs immortelles, beauté morbide ou kitsch bling-bling hyper à la mode ?

Vieillir, faner, mourir…quoi de plus naturel ? ce n’est peut-être pas si terrible ? Difficile de se sentir apaisé dans ce cimetière où tout semble à l’abandon, décrépi, … n’y a t-il plus de place à la joie ? Doit-on absolument se morfondre ?

Concession à perpétuité : et quand il n’y a plus de vivants pour venir se recueillir et entretenir, ce sont les araignées qui tissent le temps qui passe

Sommes-nous prêts à ramasser les pots cassés ?

Comme une envie de voir débarquer Nosferatu pour une photo souvenir

Plonger dans une dimension parallèle, reflets, miroirs et bris de verre, la lumière tente d’adoucir ce qu’elle peut

Porte de garage écaillée, un petit coin de ciel bleu ou de mer aux eaux turquoises

Cabanon de jardin bleu pétrole et sa magnifique bâche. Je passe souvent devant, je ne sais pas pourquoi je l’aime bien. Le bleu persiste au fil des ans. Test saturation des couleurs pour le rendre encore plus présent.

Les tempêtes et vents violents laissent des traces dans les sous bois, arbre déraciné dans un sous bois marécageux créant une petite mare d’eau dans laquelle la forêt se reflète

…et après l’hiver, le printemps, la lumière est de retour

Cernes d’un arbre coupé et oublié en plein bois, laissé à moisir, pour le plus grand plaisir des insectes et autres invisibles

Roches modelées par les changements géologiques au fil des siècles, forêt de Malesherbes

Avec le temps même les durs à cuire cèdent

Paysage de lichens millénaires, comme une oeuvre d’art de la nature : la vie!

Islande

Beau voyage de novembre 2016. Premières photos argentiques que j’ai faites avec le Canon AE1 de mon grand-père.
Il s’agit de scans de négatifs, pellicule …. que j’ai essayé de retravailler un peu avant de les publier ici.